Voici une fic qui à l'origine devait être un os pour l'anniversaire d'une fille que je connais fan de Castle aussi, elle n'est pas inscrite sur le forum mais bon, son anniversaire n'est qu'en novembre mais j'étais si inspiré que comme la si bien prédit Miss Elena, sur que ça sera une fic, bon elle ne comportera pas énormément de chapitres 4 tout au plus 5 !
J'ai donc eu cette idée en flash et je vous informe qu'elle est complètement délirante. Je tiens à vous informer que je ne me drogue pas ! Si si je vous promets ! Merci encore à ma jumelle de cœur et bon anniversaire à la personne pour qui cette fic est destinée, c'est en avance mais pour une fois je suis pas à la ramasse ! Je voulais attendre pour la poster mais j'étais si inspiré que j'ai eu peur qu'on est l'idée et que j'ai écris pour rien donc voila une exclue ! Sachez qu'en moins d'une semaine j'ai écrit près de la moitié de cette fic donc inspiration quand tu nous tiens. Certaines ici on même eu le privilèges d'en lire un peu plus que ce prologue.
Titre : Amazones
Rating : un bon T bien tassé !
Genre : Romance/Humour
Personnages : Kate Beckett/ Rick Castle et .... Ben vous verrez bien.
Résumé : Les amazones ont-elle réellement existées? Richard Castle va découvrir s'il s'agit bel et bien d'un mythe...
Prologue
Je m’envolais loin de celles que j’aimais pour une tournée promotionnelle d’au moins 3 semaines et je ne savais vraiment pas comment j’allais faire sans elles, loin d’elles. Elles me manquaient déjà et alors que nous étions dans l’avion, je pensais à elles, j’avais envie de les voir de les serrer dans mes bras. Plus les années passaient, et moins je supportais d’être éloigné de ma famille, mais avec le métier que j’exerçais je n’avais malheureusement pas le choix, même si j’avais réduit au maximum ce genre de réjouissance, je ne pouvais y échapper. Je ne désirais qu’une chose, revenir auprès d’elles le plus rapidement possible tant l’idée que je ne sois pas à leurs côtés en cas de besoin m’était intolérable. Et s’il se passait des choses importantes sans moi ? Non que pouvait-il arriver en trois semaines ? Je ne devais pas commencer à imaginer le pire, même si un drôle de pressentiment ne me quittait pas.
Les perturbations de l’appareil me sortirent de mes rêveries, et je me redressais sur mon siège, jetant un regard machinal aux hôtesses qui ne paraissaient pas particulièrement inquiètes. J’avais l’habitude de prendre l’avion et de ce genre de secousse mais je les trouvais assez violentes. Nous passions dans un champ de turbulences mais cela faisait maintenant près de 5 minutes et je trouvais cela étrange. Je regardais sur ma droite et vis de la fumée s’échapper de l’aile. Un moteur semblait avoir pris feu et reportant mon attention sur les hôtesses, je perçus leur inquiétude sous jacente. La voix du pilote confirma mes inquiétudes.
« Mesdames et messieurs nous passons un champ de turbulence assez violent, veuillez attacher vos ceintures. »
Je m’exécutais alors que l’avion était pris de secousse de plus en plus brusques, et que les gens autour de moi commençaient à crier. J’avais l’impression que l’appareil piquait du nez, et comme pour me donner raison, j’entendis subitement un système d’alerte retentir dans tout l’appareil, une sonnerie peu rassurante qui annonçait que l’avion avait un souci.
« Mesdames et Messieurs veuillez prendre les masques qui se trouvent au-dessus de vous. Respirez calmement et ne paniquez pas. » Enonça l’hôtesse.
Mais comment ne pas paniquer alors que cet engin s’effondrait tel un château de carte et que je voyais sur ma gauche le second moteur s’éteindre comme son confrère ? Je percevais sa chute encore et encore, jusqu'à ce qu’il percute violemment la surface de l’eau que nous survolions. L’eau s’infiltra rapidement, tous les hublots éclatèrent sous la violence du choc. Je me protégeais de l’impact avec mes bras, sentant le verre épais me cisailler la peau. J’étais groggy, endolori, et je sentis les limbes m’envahir alors que j’entendais les cris des passagers. Dans un sursaut, je défaisais ma ceinture. Je devais sortir de là au plus vite, il le fallait si je ne voulais pas mourir.
Alors que les gens paniquaient, je me faufilais vers la porte avant de l’appareil. Je devrais dire nageais car nous étions complètement immergés en moins de quelques minutes. Des gens luttaient pour se détacher, j’en aidais certain mais il fallait faire vite car nous n’avions pas de grande chance de survie en restant ainsi alors que l’eau arrivait au toit du cockpit. J’arrivais à la porte et appuyais sur le bouton d’ouverture qui était comme par hasard bloqué. Je scrutais les alentours, retenant ma respiration le plus possible, économisant mon air. Lorsque je vis une espèce de Crick, je m’en saisis et forçais cette fichue porte.
Je voyais les gens autour de moi s’éteindre peu à peu, un homme vint m’aider et alors qu’a deux nous forcions comme des déments, nous entendîmes un clic et d’un coup la porte s’ouvrit laissant sur son passage l’eau envahir un peu plus l’appareil. Nous fûmes projetés en arrière comme plaqués aux parois. Je luttais et nageais comme je le pouvais, parvenant enfin à sortir de l’appareil lorsqu’une explosion se produisit, m’éjectant violement en avant. C’est à ce moment que je perdis conscience, je devais être mort, je n’avais pas mal. Si la faucheuse venait me chercher elle était clémente dans la douleur. Et alors que je sombrais dans les abysses, son visage magnifique m’apparut celui de mon amour. Je me raccrochais à cela tendant le bras vers elle, j’accrochais quelque chose et l’air arriva enfin à mes poumons alors que mes yeux se fermaient contre ma volonté.
Lorsque je m’éveillais, une chaleur ardente m’étreignit le crâne, me faisant gémir. Je relevais la tête et trouvais l’eau en premier, buvant la tasse, je me redressais tant bien que mal, m’accrochant à ce bout de je ne sais quoi auquel j’étais attaché avant mon réveil. Je remontais reprenant une profonde inspiration. Les yeux fermés, je tentais de me ressaisir de reprendre ma respiration, mais la douleur qui m’étreignait me rendait la tâche plus que difficile. Au bout de 10 bonnes minutes j’y parvins enfin et relevais la tête lentement puis la tournais dans un mouvement tout aussi lent. Lorsque ma vision s’éclaircit, je scrutais l’horizon infini, pour découvrir avec consternation que j’étais en plein milieu de l’océan.
J’étais dans de beaux draps comment allais-je m’en sortir ? J’avais survécu au crash d’un avion et allais mourir là au milieu d’un océan de pureté bleue. J’aurai ri devant l’ironie de la situation si je n’avais pas été en danger de mort. J’avais de plus en plus de mal à me tenir à ce fichu bout de métal qui se faisait glissant comme une anguille. Je devais faire en sorte de sortir de l’eau au plus vite et pour cela, je devais conserver mon calme. J’observais mon appui et constatais que c’était une aile de l’avion que j’occupais, elle était relativement intacte donc assez large pour m’accueillir entièrement. Je me hissais donc à la force de mes bras mais le peu de stabilité de ma barque de fortune et le peu de forces qui me restait me fit riper et basculer en arrière me plongeant de nouveau dans l’eau, me faisant boire encore une tasse salée.
Je grimaçais de dégoût tandis que je remontais à la surface. Nageant pour rejoindre mon embarcation qui s’éloignait de moi, je réessayais encore. Après plusieurs tentatives infructueuses, je réunissais mes dernières forces en m’accrochant à l’image des gens que j’aimais. Ma fille me serrant dans ses bras tendrement, ma mère levant les bras au ciel, me jouant une énième fois le rôle dans lequel elle excellait le plus, le drame, et enfin Kate Beckett me souriant, de ce sourire le plus magnifique que j’ai pu voir dans ma vie. Kate Beckett ma muse, ma partenaire, la femme que j’aimais même si elle ne s’en rendait pas compte. Un regain d’énergie me vint et je parvenais enfin à me hisser. Epuisé, je m’allongeais sur ma planche et alors que je tentais de lutter le plus que je pouvais, la fatigue s’empara de moi et gagna sur ma volonté m’emportant dans un sommeil profond.
Sujet: Amazones fic en cours 
