Shut The Front Door

Forum francophone sur la série Castle
 
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 Jusqu'à ce que la mort vous sépare (suite)

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MissElenaLane
Oh-capitaine
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Oh-capitaine

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Jusqu'à  ce que la mort vous sépare (suite) Empty
MessageSujet: Jusqu'à ce que la mort vous sépare (suite)   Jusqu'à  ce que la mort vous sépare (suite) EmptyLun 11 Juin - 20:32

Bon il va peu être falloir commencer à remplir ce joli fofo' de fic jusqu'à qu'il déborde non?
Alors je me lance ma première fic ( j'ai changé le nom là bas c'est : le coup dur)
Dites moi ce que vous en pensez ça me ferait plaisir.

titre: Jusqu'à que la mort vous sépare

Genre: Romance

Rating: G

personnages principaux: Castle et Beckett l'équipe et un personnage de mon invention

Résumé: Beckett va se marier mais pas avec Castle...



Chapitre 1::
Katherine Beckett

Comment l’avouer à Castle ? Ça lui ferais mal de le savoir mais pire de ne pas l’apprendre par moi.
Une voie réconfortante me sortit de mes pensées

-Ma puce à quoi tu penses ?
- Nan rien désoler je suis fatiguée. Je vais me coucher à demain.

Depuis que l’appartement de mon père avait brûlé il vivait chez moi et cela me plaisait beaucoup, il me tenait compagnie mais il allait devoir bientôt partir car un évènement allait bouleverser mes habitudes.
- - - - -
Le lendemain au poste
- - - -
Dès que Lanie me vit faire de la paperasse elle explosa dans une semi-colère, semi-explosion de rire, Elle était une des seules à être au courant de ce qui c’était passé dans la soirée d’hier, donc une des seule à être étonnée de me voir au poste.

- Comment oses-tu faire de la paperasse après ta journée d’hier !!! C’est une honte, tu devrais être dehors à faire les magasins !!! Ne me regarde pas comme ça ! Et lui il le prend comment ?

De qui pouvait-elle parler ?? De Castle ou de Jo….

-Bonjour Beckett un café ?

Pourquoi Castle arrivait-il toujours au mauvais moment ? Je voulais demander conseil à Lanie pour annoncer la nouvelle à Castle mais l’arrivée de celui-ci retira toutes mes chances de soutient.

-A ce que je vois tu lui as toujours pas dis. Bon je vous laisse alors.
En passant Lanie me fis une pression sur le bras pour m’encourager. Oui, elle parlait bien de Castle.

« Castle je….

J’allais me lancer mais j’eus trop peur et laissa ma phrase en suspens.

-De quoi parle-t-elle il y a quelque chose de nouveau ?

A son visage je compris que j’étais devenue livide

-Non elle disait ça juste pour me mettre mal à l’aise. Et oui merci je veux bien un café.
-D’accord je vous l’amène.

Et voilà un mensonge de plus mais comment j’aurais pu lui annoncer c’est trop dur. Comment casser tous les rêves de Castle en seulement une seule petite phrase sans lui faire du mal ?

-Alors comment ça Beckett ? On nous fait des cachotteries ?

C’était Ryan. Castle venait juste d’apparaitre à l’ouverture de la porte. J'esperais que Ryan ne dise rien sur mon secret ! Après quelque secondes Esposito qui avait tout entendu de la réplique de Ryan arriva et sortit tout haut :

-Oui Beckett comment ça se fait que vous nous avez rien dit sur votre mariage avec Jonathan ? »

Richard Castle

Avais-je bien entendu ? Allait-elle se marier avec quelqu’un d’autre ? Non c’est impossible je n'étais même pas au courant de qui était ce Jonathan ! Elle ne pouvait tout simplement pas me l’avoir caché, je n’osais pas m’imaginer que ma muse, ma Beckett m'aie caché quelque chose d’aussi énorme. Je la regardais pour essayer de voir une lueur d’énervement sur son visage, une toute petite lueur qui signifierai que les gars disaient juste ça pour l’embêter. Mais non. Au lieu de cette petite lueur, il y avait un visage fermé de quelqu’un de profondément désolé. Les larmes me montaient aux yeux, il fallait que je dise quelque chose, que je fasse quelque chose. Un silence était tombé dans tout le commissariat et tout le monde s’était retourné vers moi sauf les gars qui devaient être terriblement gênés. Mais non je restais figé sur place incapable de bouger. Beckett brisa alors le silence avec une petite voix ou l’on semblait sentir une petite touche de peur.

-Castle… … je voulais vous l’annoncer mais j’ai eu peur, je suis avec Jonathan depuis presque un an. Hier soir il m’a demandé en mariage. Et j’ai… J’ai accepté.

Je la regarda, elle avait un visage de soulagement, elle avait enfin décidé à tout m’annoncer. Je fis quelques pas en avant pour aller déposer son café devant elle et fit demi-tour. Je sortais de la salle et me mettais à courir. Une fois arrivé dans une cabine de toilette je m’effondrait. Comment avait-elle pus ? Elle, ma muse, allait se marier et, que moi, je n’ai rien remarqué. Comment avait-je pus être si idiot ? Tout s’expliquait maintenant ! Toutes ces soirées où elle ne répondait pas, tous les hamburgers qu’elle avait refusé après une enquête. Tous prenait un sens. Ce n’était pas moi qui la contrariait. C’est qu’elle était déjà avec quelqu’un d’autre, quelqu’un qu’elle aimait et qu’elle allait épouser.
J’essayais de me calmer, sortais de la cabine, me rinçais le visage, me calmais une bonne fois pour toutes. Il fallait que j’y retourne. Mais arrivé devant la porte j'abandonnais et partis prendre l’ascenseur.
Au loft je voyais ma mère au téléphone qui me faisait signe de venir en disant assez haut pour que je l’entende

« Oui il vient d’arriver je vous le passe. »

Je lui faisais un signe pour lui dire que non, elle s’était trompée, mais elle ne le compris pas et me passa le téléphone. Je le prennais le rapprochais de mon oreille mais ne disais rien. Après quelques minutes de silence j’entendais la voie de Beckett m’appeler. Et je raccrochais. Je ne pouvais pas, c’était trop tôt. Ma mère me regardait avec un visage interrogateur, je lui fis signe que ce n'était rien, ce n’était pas grave même si au contraire je voulais me jeter dans ses bras comme lorsque j’avais 4 ans. Je montais dons ma chambre, tomba sur mon lit et recommencais à pleurer. J’entendis ma mère qui montait, entrer dans ma chambre. Elle s’assit à côté de moi et commencait à me serrer dans ses bras. Elle me bercait. Je ne était plus un enfant mais ce geste me fit beaucoup de bien et je m’endormis dans ses bras.
Je me réveillai et me demandai ce que je faisais dans mon lit à cette heure-là. Puis je ma rappelais de tout. Beckett, Jonathan… Le mariage. La douleur revenait je décidais de ne pas m’apitoyer sur mon sort. Elle devait d’être heureuse. Elle méritait d'être heureuse. Ce n’était qu’une femme. J'alais, un jour tomber sur l’élue de mon cœur qui m’aimerait en retour. Je me redraisais, descendis. Je voyais ma mère aux côtés d’Alexis dans le sofa toutes les deux se retournèrent vers moi, puis Alexis se lèva et vînt mes serrer dans ses bras.

-Ça va papa ? Bien dormi ?

Je lui répondis que oui et elle me mèna vers la table où un festin m’attendait. Mon téléphone sonna et le nom de Beckett s’afficha. Je ne pouvais pas faire attendre mon estomac qui criait famine et refusa l’appel. Ma mère et ma fille me regardaient et je leur dis avec la voix la plus joyeuse possible :

-Alors ce festin on le mange ? J’ai une faim de loup !

Bon voilà j'ai quelques doutes par moment de.. non pas grave No





Dernière édition par Oh-capitaine le Sam 23 Juin - 9:40, édité 2 fois
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MissElenaLane

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MessageSujet: Re: Jusqu'à ce que la mort vous sépare (suite)   Jusqu'à  ce que la mort vous sépare (suite) EmptyMar 12 Juin - 13:12

Bon... interressant comme début, et hate de connaitre la suite.

Rick qui pleur, je le verrais plus en colère et à fraquasser quelque chose !!

mais petite question qui est ce Jonathan ? d'ou il sort, on est dans qu'elle période par rapport au saison...
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iliana

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MessageSujet: Re: Jusqu'à ce que la mort vous sépare (suite)   Jusqu'à  ce que la mort vous sépare (suite) EmptyMar 12 Juin - 16:05

Sympa ce début...

Mais je me pose la même question que MissElena, qui est ce Jonathan et à quel moment de la série se situe-t-on?

Ce qui est drôle, c'est que j'ai eu une idée similaire à la tienne, mais j'attends d'en lire plus avant de savoir si je laisse tomber ou pas...

En tout cas je suis intriguée, et j'attends donc la suite pour en savoir un peu plus et découvrir si Rick va dire ses 4 vérités à Beckett !

VLS fleurbleue
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Oh-capitaine

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MessageSujet: Re: Jusqu'à ce que la mort vous sépare (suite)   Jusqu'à  ce que la mort vous sépare (suite) EmptyMar 12 Juin - 20:14

Elle se situe pas vraiment ... Plutôt dans les deux premières.
Jonathan c'est un personnage de mon invention ( j'ai oublier de le noter j'y vais de suite)
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AlakazamJackass

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MessageSujet: Re: Jusqu'à ce que la mort vous sépare (suite)   Jusqu'à  ce que la mort vous sépare (suite) EmptySam 16 Juin - 3:10

Super sympa comme début .. j'attend la suite avec impatience . fleurbleue
J'aime beaucoup l'idée que tu ai pris un personnage sortie tout droit de ton imagination. Ni josh et tout .
Castle qui pleure , ça fait mal au coeur . sadness

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Oh-capitaine

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MessageSujet: Re: Jusqu'à ce que la mort vous sépare (suite)   Jusqu'à  ce que la mort vous sépare (suite) EmptySam 23 Juin - 9:39

Chapitre 2:

Katherine Beckett:

Il ne me répondait pas, j’avais dû l’appeler toute la soirée ! Je l’avais vexé. Maintenant je rentrais chez moi et mon père était là avec un invité surprise : Jonathan. Je devrai être contente il n’était pas parti à son voyage d’affaire. Il m’avait dit qu’il réfléchirait. Et voilà. Il était là devant moi avec un grand sourire mais moi je n'étais pas d’humeur à lui sourire. Je m’avançais vers lui, l’embrassais et allais me coucher sans rien dire. Juste avant d’aller au lit, je tentais une dernière fois d’appeler Castle. Mais toujours aucune réponse. Je me couchais et quelques minutes plus tard, mon amour vint à mes cotés

Richard Castle

Après un bien bon repas, je me décidais d’aller au poste pour voir Beckett et lui montrer que rien n'avait changé, que j'étais toujours son écrivain et elle ma muse. Qu’elle devrait juste faire sans son café du matin et sans les hamburgers de fin d’enquête même si on en avait pas eu depuis longtemps. Arrivé au poste il n’y avait plus personne. Je me posais alors sur ma chaise près de son bureau. Il n’était pas très tard elle devait être allé aux toilettes ou faire quelque chose mais revenir toute de suite après. Comme elle ne vint pas je me levais et allais demander à un officier.

-Ah vous venez juste de la manquer, elle est partie il y a dix minutes.

Je rentrais alors chez moi et me décidais à l’appeler mais ne trouvais pas mon portable. Je décidais alors d’aller me coucher.
Le lendemain je me levais, allais manger et lorsque je croisais ma fille juste avant de partir. Celle-ci leva les yeux au ciel. Je m m’arrêtai et allais la voir.

-J’ai fait une bêtise ?
-Mais non papa rien du tout !
-Tu pense peut-être que je ne devrais pas y aller c’est ça ? Mais la vie ne s’arrête pas là, al….
-Nan, papa arrête ton discours que tu a dû préparer toute la nuit et va plutôt te regarder dans une glace.

Je me demandais ce que j’avais alors j'allais voir. Arrivé devant la glace je ne pouvais pas m'empêcher un sourire. Oui c’est bien ma fille à lever les yeux pour ça. J’avais mangé de la crème chantilly et en avais à peu près partout. Après m'être essuyé, je prenais ma voiture et allais au poste en passant par un café, commande deux café mais en repensant a Beckett en annule un.
Arrivé devant le poste, je me ravisais et allais en chercher un deuxième. Je ne pouvais pas arriver avec un seul café ! Je rentrais dans le poste et voyais tout les visages se tourner vers moi puis vers le bureau de Beckett. Elle n’y était pas. Je m’étonnais mais j'allais m’assoir sur ma chaise après avoir posé son café devant son ordinateur.

Katherine Beckett

Ce matin je me levais tard. Je n’avais pas dormis. Je me demandais comment allais devenir la vie au poste s’il n’y avait plus Castle. Il faisait partie de la famille que formais ce commissariat. Quand je vis l’heure qu’il était je me dépêchais de m’habiller et sans petit déjeuner me rendis au poste. Lorsque que je vis Castle assis près de mon bureau je fus étonné, contente et je m’interrogeais sur sa raison d’être là. Il ne venait pas quand il n’y avait pas d’enquête en cours et depuis ce qui c’était passé hier je ne pensais pas le revoir du tout. Mais il était la devant moi en train de jouer avec je ne sais pas trop quoi, surement un dernier jeu sorti qu’il avait pu ramener ici. Je m’avançais, il leva sa petite tête et lança d’une voie assez joyeuse :

-Je viens juste de voir tous vos appels manqués, désoler de ne pas avoir répondu, j’avais oublié mon téléphone hier soir quand je suis venu voir. Mais vous étiez déjà partis. Qu’est-ce que vous voulez me dire d’assez important pour mériter 24 appels exactement ?

J’étais heureuse, il était venue me voir hier soir après que je sois parti. Je m’en voulais de ne pas être restée plus tard. Il ne m’évitait pas, il ne répondait pas juste par ce qu’il avait oublié son téléphone ici.

-Non rien je voulais juste… Non rien.
-Et en fait félicitation pour votre mariage !

A la fin de sa phrase, sa voie s’était cassée je recommençais alors à me torturer l’esprit car je devais avoir brisé définitivement le cœur de cet homme.

- Merci c’est… … gentil

Un silence tomba entre nous deux. Je m’assis, mais lui se leva.

- Je vais aux toilettes.

Dès qu’il fut parti, je m’autorisai enfin à respirer. Il était depuis 10 minutes devant moi, et moi je ne disais rien Je ne pus m’empêcher de m’insulter intérieurement.
Je l’attendis mais il ne revenait pas. Je me mis alors au travail. Je n’avais pas que ça à faire. Il ne revint que 10 minutes après. Lorsque je vis ses yeux rouges, je m’en voulu encore plus. Je l’avais fait pleurer. Je me levai et ne savais pas pourquoi lui tendis un paquet de mouchoirs. Il me regarda et s’énerva :

-Pourquoi vous me tendez des mouchoirs ?
-Non mais quand j’ai vu vos yeux rouges j’ai pensé que...
-Que quoi ? Ce n’est pas nos yeux qui ont besoin de se moucher !
-J'ai juste pensé que vous aviez pleuré, et que vous en aviez besoin.
- Bah non, vous n’avez pas toujours raison et pourquoi vous pensiez que j’ai pleuré ? Ai-je une raison de pleurer ?
-Je penser que avec l’évènement récents vous... Et puis pourquoi vous vous énervez ? Je n’ai rien fait juste tendu une boite de mouchoirs ! Si vous vous énerver pour un rien il suffit de rentrer chez vous !
-Vous voulez que je rentre chez moi ?
-Oui il faut vous calmer !
-Me calmer ? Je crois que j’ai le droit de m’énerver ! Vous sortiez avec quelqu’un depuis six mois et il vous n’est même pas venu à l’idée de m’en parler ? Beaucoup de personnes le savaient mais pas moi je n’ai pas eu cet honneur
-Arrêtez on n’est pas ensemble et on ne la jamais été, et je ne pense pas qu’ont le sera un jour.
-Je le sais très bien et qu’est-ce qui vous fais croire que je veuille être avec vous ? Je n’ai jamais formulé l’envie !
-Je ne sais pas. Mais de toute façon, c’est trop tard, vous avez laissé passer votre chance. Je vais me marier !

C’était la phrase à ne pas dire. Pourquoi m’être emporté ? Il partit Sans se retourner.
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MessageSujet: Re: Jusqu'à ce que la mort vous sépare (suite)   Jusqu'à  ce que la mort vous sépare (suite) EmptyMar 10 Juil - 12:16

Ma Rich d'amour !!!

Comme tu le sait déjà :
J'adore l'histoire et tu écris très bien :D

Ton écris est très prenant et tout ce qu'on veut, c'est la suite !!

Donc bravo, et vivement le chapitre 3 !!

VLS Jusqu'à  ce que la mort vous sépare (suite) 2949492947 Jusqu'à  ce que la mort vous sépare (suite) 2949492947
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MessageSujet: Re: Jusqu'à ce que la mort vous sépare (suite)   Jusqu'à  ce que la mort vous sépare (suite) EmptyLun 27 Aoû - 9:18

Trois
Richard Castle
Comment osait-elle ? Elle me parler de nous comme ça, avait-elle un cœur ?
Elle avait brisé le mien. Je m’étais peut-être emporter mais elle n’avait pas le droit de me dire ça. Ses derniers mots m’avaient frappé en plein cœur ; C’était le coup de grâce, j’avais perdu cette bataille. Etre venu aujourd’hui avait été la pire des erreurs que j’avais faites dans ma vie. Je partis sans me retourner car les larmes me montaient aux yeux. Je voulais être fort mais mon cœur ne l’était pas, elle avait cassé toute mes défenses. Mon cœur lui appartenait, elle faisait ce qu’elle voulait de moi. Dans l’ascenseur le poids fut trop lourd et accablé par la douleur je tombai par terre. Lorsque j’entendis la sonnette je me relevai en un bond et tomba nez à nez avec Esposito qui fus très certainement surpris de me voir la, en pleure. Je partis le plus vite possible et entendis sa voie m’appeler puis jurer. Au loft je ne pus m’empêcher de replonger et pleura de plus belle. Il fallait que je me calme, ma mère et ma fille n’allaient pas tarder. Je me levai, alla prendre une douche puis sortis me promenez pour me changer les idées.il faisait un temps magnifique, un ciel bleu pale, aucun nuages à l’horizon. Des rires d’enfants étaient perceptibles mais ma tête était autre part, dans un autre monde. Pour ne pas m’écrouler de douleur une nouvelle fois je fus obliger de m’assoir ; je ne sais pas combien de temps je restais là, à regarder les enfants jouer au toboggan et a la balançoire. Ca me rappelait l’époque ou ma fille et moi allions nous promener tous les jours au parc. On courait dans l’herbe, jouais à saute-mouton, jouait au chat et à la souris. C’était un temps ou mon cœur n’était pas emprisonner par une femme aux yeux vert magnifique, au sourire. Au sourire d’une déesse, cette femme qui m’avait rejeté tant de fois, qui venait juste de sortir de ma vie. Mais moi je voulais qu’elle soit mienne, qu’elle partage ma vie Je rentrai alors que la nuit commençait à tomber. Les passants se dépêchaient de rentrer chez eux pour rentrer auprès des personnes qu’ils aimaient, je m’apprêtais à faire de même mais avant j’avais besoin de trouver une occupation pour les jours qui allaient suivent. Je passais donc au marchand de journaux ais ne fus tenter pas rien sur le chemin du retour passa devant un marchand de jouets et ne pus m’empêcher d’acheter un petit pantin vert avec un grand nez.
Au loft érigeait une ambiance accueillante comme chaque soir, Alexis faisait ses devoirs et ma mère jouait aux chèques seuls.
-Bonjours papa alors cette journée ?oh tu as acheté quelque chose !! J’espère que ce n’est pas le dernier jeu sorti que tout le monde veux avoir ?
-Coucou Pumpkin mais non ce n’est pas un super jeu, c’est un pantin vert.
-Ah mais il est horriblement laid !!
Ma mère venait juste de sortir de sa partie ;
-Bonjour mère heureux qu’il te plaise, moi je le trouve mignon, il à une tête d’extraterrestre, on dira qu’il veut envahir la planète.
Ma mère et Alexis continuèrent de dire des méchancetés sur mon nouveau jouet mais moi je le trouvais parfait pour commencer à réparer mon cœur ou au moins remplirai mes journées. Je commençais à jouer avec lui lorsque mon ventre commença à crier famine. Avec toute cette histoire je n’avais pas déjeuné
Après un vote avec les deux femmes de ma vie ou les pizzas remportèrent celui-ci je les commandai puis me repris à jouer. Lorsqu’elles arrivèrent enfin mon ventre était sur la limite d’exploser. On se mit à table puis j’allais me coucher. Je n’arrivais pas à dormir et alla rejouer avec mon pantin que j’avais surnommé maitre Yoda. En regardant de près il avait quelques poils sur le crane et come ‘j’avais toujours voulu que le vrai maitre Yoda soit méchant je trouvai que c’était le moment de mettre mon rêve a exécution. Au bout de quelque heure de jeu je m’endormis aux côtés de mon maitre Yoda.
Que je me réveillais, je me demandais ce que je faisais dans le salon. Je ne me souvenais pas être allé manger ou quelque part d’autre. J’essayais de me lever mais une migraine épouvantable pris l’assaut de ma tête alors je décidais de rester sur le sofa à regarder la télévision. De toute façon que faire ? Je ne voulais pas retourner au poste. Elle devait être fière d’elle, elle savait qu’elle était la deuxième personne à avoir fait flancher le célèbre Richard Castle. Je cherchais la télécommande mais de la trouvais pas alors je commencer à m’énerver.
-Mais le sort s’acharne sur moi ! Ce n’est pas possible !!
-Non papa ce n’est pas le sort sauf si celui-ci c’est moi.
-Oh coucou Alexis. Je t’ai réveillé ?
-Non papa je viens de faire un cauchemar avec ton affreux nouveau petit joujou
-Et ! Mais il n’est pas affreux, il est mignon !
-Mais non papa c’était ironique !
-OH désoler. Mais je suis fatigué
-A Ba sa peut se comprendre tu as fait un marathon cette nuit, tu as du faire fois le tour du loft, je n’ai pas pu fermer l’outil de la nuit.
-à bon ? Ceste pour ça que je me suis réveiller la.
Elle commençait à partir en levant les yeux au ciel quand je me souvent de sa première phrase de la journée
-Pourquoi le sort ca sera toi ?
-papa je t’ai pris la télécommande et si tu veux la reprendre il va falloir la chercher.
C’était bien ma fille. Tout le contraire de moi ; Elle avait caché la télécommande pour que je ne regarde pas la télévision. Et si je voulais la regarder je devais me lever. Juste avant de la voir disparaitre derrière la porte je lui demandais en criant de m’apporter du pain et de quoi petit déjeuner. Puis partis à la découverte de mes mains.
-Que fais-tu déjà lever à cette heure et a. A regarder tes mains ?
-Bonjour mère bien dormis ? Ma chère fille à cacher la télécommande et maitre Yoda n’est pas ici alors je cherche une occupation.
-Figure toi que tu as couru toute la nuit donc non je n’ai pas dormis ; Et ta fille a bien raison. Rester devant la télévision avec une journée pareille ! On aura tout vu !
Elle avait raison, il faisait un temps magnifique mais, comme elle me l’avait toute les deux dis je devais avoir couru toute la nuit ce qui explique mon mal de jambe, je reste donc dans mon canapé.
-Voilà papa ton petit déjeuner ;
- mais je vais manger plus qu’un grain de raisin ma chérie.
-oui mais il faut te lever.
-Bon d’accord je me levé en plus tu ne voudras jamais m’amenez de la crème chantilly.
Aller debout mon gros. Je m’encourageais mentalement pour me lever. Quand je vis ma fille courir vers la cuisine je mis quelque seconde à comprendre sa raison. Je compris alors que c’était pour aller prendre ma crème et surement la cacher. Je me ruais alors à sa suit pour me jeter sur la crème qui était là ou je l’avais laissé la dernière fois.ma fille tenta de m’en empêcher mais lorsque je voulu en manger elle me donna un grand coup dans les côtes et ce fus ma mère qui en reçut.
-Ahhhh, fis-t-elle d’un ton théâtrale vous pouvez faire attention, je dois aller me doucher maintenant !
-Mère, tu allais te doucher
-oui mais ce n’est pas une raison !
Et elle partit sans dire un mot de plus. Dès qu’elle eut disparut je ne pus m’empêcher de rire ainsi qu’Alexis qui était devenue toute rouge.
-Bon je dois aller en cours bonne journée papa
Ce petit moment en famille m’avait fait beaucoup de bien. Mais voilà que je me retrouvais seul pour une bonne heure le temps que mère finissait sa douche.je commandais la recherche de la télécommande mais abandonna bien vite et dans un élan de courage me mis à écrire. C’Était vraiment dur, écrire sur Nikki heat. Mais il le fallait. Mon courage ne fut pas long ; IL était quatorze heures et mon ventre criait famine. Je décidais alors de me faire un sandwich, beurre salade jambon fromage je le refermais, Avant de prendre une bouché je m’écriais :
-Ah non ! Le ketchup !
-Chéri pourquoi tu es obligé de gâcher ton sandwich ce qui je tiens à préciser n’est pas un bon déjeuner pour un homme de ton Age, mais pourquoi est tu oublier à rajouter ces cochonneries ?
-Mère tu as fini de vider les magasins ? Et ma carte bancaire à ce que je vois.
Elle venait de sortir de son petit sac que je n’avais jamais vu ma carte et me la tendais en souriant
-et oui mon fils si je prends la mienne je ne permettrai pas d’acheter autan de chose, voyons réfléchis ! Bon je vais me faire de la ratatouille ; Et tu devrais en faire autant !
Elle partit après m’avoir rendu ma carte qui était brulante tellement elle avait été utilisée.je regardais mon sandwich qui était désormais dégoulinant de ketchup et mord a plein dents devant.
-Pff de la ratatouille, n’importe quoi.
Mon sandwich fini je décidais d’aller me promener. Je sortis donc après une bonne douche pour me diriger vers le kiosque à journaux. Pris le journal du jour et quelque brochure pour trouver ce que j’allais faire après. Voilà, cette brochure était plus qu’attirante. Un voyant a NY rien que le titre me plaisais.
Arriver à l’adresse indiquer je sonnais. Il me fit
Rentrer.
-Bienvenu au temple de Seth Asseyez-vous sur cette chaise s’il vous plaît. Que voulez-vous que je fasse ? Que je vous lise votre avenir ?
Il avait une voie qui résonnait dans toute la pièce. Celle-ci était décoré de t’elle façon que l’on c’y croyais dans un temple égyptien. Avant que je puisse répondre elle partit a la découverte de mes mains
-Vous avez vécu une expérience
Très désagréable.
Il commandait, mais ça voie avait totalement changé. A l’écoute de ce mot mon cœur fit un bond et les larmes me montèrent aux eux
-Oui je sais, depuis quelques jours
-Vous vous cacher chez vous et.
-Oui je sais
Il sortit de sa torpeur*-arrêter de me couper
Il repartit dans son état de transe.
-Vous avez vécu une expérience désagréable. Vous vous cachez chez vous et vous mentez a vous-même en faisant semblants que cela vous fais rien ;
-je
-Chut
-Mais
-J’ai dit ne m’interrompez pas !
-oui mais, bon d’accord
-Bon je recommence.
-Vous pouvez juste repartir de là ou vous en étiez ?
--Vous avez vécu une expérience désagréable. Vous vous cachez chez vous et vous mentez a vous-même en faisant semblants que cela vous fais rien.
-Pff
Je commençais à m’énervais il me l’avait
Déjà dit. Mais ne le coupais pas sinon il allait recommencer.
-Vous aller sombrer et,
C’est
Très
Confus, suivre
Quelqu’un. Mais une visite va vous rendre le plus heureux des hommes.
C’était n’importe quoi .je ne voulais plus écouter ces sottises je me levais et payais. Juste avant que la porte se claque je croyais l’entendre crier :
-Attention une personne proche de vous souffrira beaucoup au point de mourir !
Je devais avoir mal compris, j’en étais sûr.



[u][b]
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ilovecastle♥

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MessageSujet: Re: Jusqu'à ce que la mort vous sépare (suite)   Jusqu'à  ce que la mort vous sépare (suite) EmptySam 1 Sep - 9:59

Ma Rich d'amour Jusqu'à  ce que la mort vous sépare (suite) 2949492947

Ton histoire est génial, y'a pas à dire :D

T'écris vraiment bien et l'histoire est toujours aussi prenante !

Bravo ma Rich d'amour, continue comme ça Jusqu'à  ce que la mort vous sépare (suite) 2949492947
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Madoka

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MessageSujet: Re: Jusqu'à ce que la mort vous sépare (suite)   Jusqu'à  ce que la mort vous sépare (suite) EmptySam 22 Sep - 19:34

Pas mal cette idée, j'ai eu une dans le genre que j'ai déjà bien commencé, un prologue et un chapitre mais qui tourne pas pareil lol ! Les grands esprits se rencontres même si c'est complètement différent après le theme mariage avec un autre commence comme ça dans ma fic lol mais je vais pas tout dévoiler.

Par contre je te conseil sérieusement d'aérer ta fic car c'est hyper pénible a lire en pavé comme ça !
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Oh-capitaine

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MessageSujet: Re: Jusqu'à ce que la mort vous sépare (suite)   Jusqu'à  ce que la mort vous sépare (suite) EmptyMer 24 Oct - 8:15

Katherine Beckett

Après notre dispute je n’avais plus le cœur à travailler. Je me levais mais un coup de téléphone retentis juste à ce moment-là.

-Beckett.

-C’est Esposito, on a un meurtre sur la 32eme

-J’arrive.

Et voilà, ça faisait deux semaines qu’il n’y avait eu aucun meurtre et juste au moment où j’avais besoin de rentrer chez moi et de me calmer, en voilà un qui pointait le bout du nez.

Je me rendis sur la scène de crime et fus surprise par l’environnement. Ils étaient tous tendus, encore plus que sur les autres scènes de crimes. Je me rapprochais des gars qui parlaient doucement entre eux.

-Alors, qu’est ce qu’on a ? Où est notre cadavre ?

-Beckett vous voilà ! On vous attendait. Les corps sont là-bas, derrière la corniche.

Avais-je bien entendu ? Avait –il dit « Les corps » ?

Je me dirigeais vers l’endroit indiqué et sur mon passage les officiers me regardaient avec un regard qui signifiait bonne chance...
En voyant tout le monde d’une humeur massacrante je commençais à frissonner, que pouvait-il y avoir de si terrible de l'autre côté de cette fameuse corniche...

J’arrivais sur la scène et ne pus m'empêcher de pousser un petit cri de stupeur. Il n’y avait pas un ou deux cadavres... mais QUATRE ! Deux adultes et deux enfants. Je me dirigeais vers Lanie comme je le pouvais. Je tremblais. Comment pouvait-on faire ça à des enfants ? Ils étaient déposés là tels des déchets, comme si on les avait lancés.

-Pas terrible comme début de journée. ..

Lanie était devant moi, et me faisait un petit sourire.

-Non pas terrible, on va dire ça comme ça. Alors ?

-A première vue, ils ont tous été tués de la même façon, par strangulation, sauf l’homme qui, lui, a été tué par balle dans la tête. Il y a quelque chose d’étrange... Donc je ne peux pas t’en dire plus sur l'heure des morts désolée tu vas devoir attendre.

-D’accord, merci Lanie.

Je me dirigeais de nouveau vers Esposito pour qu’il puisse me dire ce qu’il avait appris en plus.

-Alors, tu as trouvé quelque chose ? Des papiers ?

-Oui … Les deux adultes étaient mariés depuis trois mois et 4 jours exactement. Et les enfants, on a rien trouvé sur eux mais on peu supposer que c’étaient les leurs. On a leurs adresse et on sait que la femme s’appelait Angela et qu'elle était surveillante dans un collège. Sur l’homme on a que son nom… Jean.

-Très bien, on va aller chez eux et voir si on peut avoir plus d’informations. Mais où est Ryan ?

-Il a raccompagné Jenny chez elle car ils étaient sortis quand il a reçu l’appel et elle a insisté pour qu’il passe ici avant.

- Il nous rejoindra quand il pourra mais il faut que l’on avance.

Durant le trajet je ne pus m’empêcher de penser aux jeunes mariés, au mariage et à Castle. Je voulais savoir où il était. Il me manquait. Il m’aurait soutenue pendant cette enquête difficile.Je ne pouvais m’empêcher de m’en vouloir de ne rien lui avoir dit plus tôt. Il fallait tourner la page, être à cent pour cent sur cette enquête. Je voulais plus que tout mettre ce meurtrier derrière les barreaux. Je ne comprenais pas pourquoi celui-là je le détestais plus que les autres. Ils étaient tous des monstres. Je laissais mon esprit vagabonder. La voiture d’Esposito ralentissait, on devait être bientôt arrivé. En sortant de ma voiture je le vis s’avancer vers moi

-Vous avez réussi à joindre Castle ? Moi il ne répond pas...

Il n’était pas au courant de notre dispute

-Je ne pense pas que nous allons le revoir de sitôt.

Il ne dit rien et après un soupir je commençais à me rendre vers la maison. En entrant dans le jardin je fus assaillie d’odeur diverses. On voyait que des enfants avaient joués des heures dans des buissons qui devaient leurs servir de cabanes. On distinguait un trou avec un tipi en bois construit par-dessus. Des jouets dans tous les coins. Je mis plus de temps à arriver à la porte d’entrée. Je regardais ce jardin en imaginant les cris et les pleurs des enfants. Les disputes, les réconciliations. Dans le coin gauche il y avait un petit espace tout bien rangé avec un transat et un hamac. Un livre reposait sur une table basse. A côté de celui-ci, des lunettes.

J’entendis les grincements d’une porte alors je me dépêchais d’aller rejoindre mes compagnons. Sur le seuil de la porte se trouvait un adolescent qui ne devait pas avoir plus de 15 ans.Après la présentation il nous fit entrer et nous amena dans une pièce qui devait être la salle principale. Il enleva des jouets d’un canapé et nous fis asseoir.

On lui expliqua pourquoi on était là. Il se mit à pleurer. Et il murmurait « mais que vais-je devenir ? »

Je lui tendis un mouchoir. Avant de commencer :

-Cela t’ennuie si nous te posons quelques questions ?

-Non, mieux vaut que j’y réponde maintenant.

-Bon. Alors tu es leurs fils ?

-Non Angela n’était pas ma mère... Mon père s’est remarié. Ma mère est morte d’un cancer il y a 10ans. Il commençait seulement à être heureux.
Après plusieurs questions on le ramena au poste car il n’y avait plus personne pour s’occuper de lui.
On le confia au capitaine .Je me dirigeais vers le tableau blanc pour tout y noter mais une main se posa sur mon épaule et m’empecha d’avancer. Je me retournais et le vis en pleurs.

-Vous aller attraper celui qui a fait ça ?

-Oui nous allons faire tout notre possible. Je te le jure mais il faut que tu ailles aider notre capitaine à trouver quelqu’un de ta famille pour t’héberger.

Il partit après avoir fait un signe de tête et je ne pus m’empêche de l’admirer. Il venait de perdre beaucoup et faisait tout pour nous aider.

Je me mis à compléter le tableau qui était encore blanc...


Richard Castle

En rentrant au loft je ne pus m’empêcher de penser à Beckett. Était-ce fini ? Notre partenariat était-il mort ?
Elle me manquait terriblement. Que pouvait-elle faire ? Y-avait-il une nouvelle enquête? Allait-elle bien ? Était-t-elle heureuse sans moi ? Riait-elle autant ?

Les questions se bousculaient dans ma tête telles des autos tamponneuses. Je ne pouvais les laisser en suspens. Je fis donc demi-tour et me dirigeais vers le poste.

Je m’installais dans un bar en face de celui-ci et commandais un café pour être moins louche. Je me mis alors à la contemplation de la façade du deuxième. Il était majestueux, je n’y avait jamais vraiment porté attention, mais il reflétait bien les personnes qui travaillaient dedans.

Je ne sais pas combien de temps je restais là à l’attendre mais un serveur vînt me voir :

-Excusez moi Monsieur, mais allez-vous rester encore longtemps ?

Je me retournais vers lui mais au moment de lui répondre il s’écria :

-Mais vous êtes Richard Castle ! Je suis un grand fan, surtout la série de NIKKI HEAT !

- Oui, c’est bien moi, merci. Puis-je rester encore un moment s’il vous plait ? Lui répondis-je un sourire aux lèvres

-Mais oui, restez autant que vous voulez, il partit mais se ravisa et me demanda un autographe

Puis sans comprendre comment je me retrouvais entouré de fans voulant des autographes. Je leurs signais en espérant que ce flot disparaisse pour continuer à surveiller les allées et venues des officiers de police. J’entendais des personnes crier des phrases comme :

« Vous êtes mon auteur préférer ! »

« Pour quand la suite se NIKKI HEAT ? »

Entre tous ces bruits j’entendis le bruit la porte du bar s’ouvrir et se refermer puis des bruit de talons en dehors. Et, la plus belle voix du monde. La voix de ma, mon ancienne muse.

Les fans m’empêchaient de la voir quand je fus enfin à l’air frais les voiture allaient démarrer. Je sautais dans le taxi le plus proche Qui, après lui avoir promis un gros pourboire voulu bien les suivre.

Je ne savais pas pourquoi je les suivais mais le faisais avec conviction. Je pouvais faire demi-tour et demander au chauffeur de me conduire au loft. Mais je voulais des réponses et surtout la voir, l’entendre, l’admirer. Le taxi ne s’arrêta qu'un peu plus tôt qu’eux.
Elle resplendissait. Ses cheveux au vent, pour moi c’était une déesse que seules certaines personnes avaient la chance de l’avoir à leurs côtés. Malheureusement je ne l’avais plus.
Elle entrât dans une maison. Je restais là, sans bouger d’un pouce, à fixer la porte par laquelle elle était entrée. Mon cœur me disait de la rejoindre mais ma tête le contraire. Et puis qu’allais-je pouvoir dire « Eh ! Bonjour, c’est moi ! » Non. Je ne pouvais vraiment pas.

Les minutes s'écoulaient et il ne se passait rien. Le sommeil venait m’attaquer. Depuis la dispute je ne dormais plus. Il me prit vite.

Je fus réveillé par un coup de feu. Je me redressais et regardais les officiers sortir un par un. Voilà, ça ne bougeais plus. Un d’eux appelait quelqu’un surement les secours car je vis un des officiers sortir avec une personne dans les bras. En regardant avec plus d’insistance je vis que l’officier n’était personne d’autre qu’Esposito et la personne Ryan. Mais où était donc Beckett ? Je la cherchais des yeux mais ne la voyais pas. Ryan se redressait difficilement puis d’un seul coup s’écria en même temps que Esposito : « Beckett ! On a perdu Beckett ! »
Je n’en pouvais plus et m’élançais en dehors de la voiture et allais dans la maison.

Katherine Beckett

Après avoir remplis le peu d’informations qu’on avait. Je m’assis devant mon bureau et me posa la tête entre les mains. Je n’en pouvais plus.
-Yo Beckett. J’ai interrogé les voisins et plusieurs ont vu un homme trainer dans le coin ces derniers jours. Et j’ai un portrait-robot .
- Très bien, allons voir qui c’est.
Le portrait-robot nous fut d’une grande aide et grâce à Antoine, le fils d’une des victimes. On put trouver l’identité de l’homme mystère.
Je sortis du poste et voulant prendre un café me rendis dans le bar en face du poste mais après avoir entrouvert la porte j’entendais :

« Pour quand la suite de NIKKI HEAT ? »

Je ressortis tout de suite. Je n’étais pas sûre qu’il était vraiment là mais ne pouvait pas courir le risque. Quand je vis les gars me regarder bizarrement je dis d’une voix neutre :

-On n’a pas le temps. On a une enquête.

Ils me suivirent dans la voiture mais je sentais leurs regards se poser sur moi puis vers le bar, mais les ignorais.
La maison était mignonne, bien décorée. Je sonnais une fois, puis deux, puis trois. J’entendis une voix derrière la porte crier :

« Oui, oui attendez »

Il ouvrit la porte et après avoir vu nos cartes nous laissa entrer. Il nous fit s’asseoir sur un canapé bien confortable dans lequel Esposito s’explosa légèrement. Je levais les yeux au ciel mais il ne vis rien. Notre suspect semblait bien tendu.

-Monsieur.

Il me coupa la parole avant d’avoir pu dire un mot de plus.

- Fournier.

-Monsieur Fournier. Nous enquêtons sur le meurtre de plusieurs personnes. Pour commencer, les connaissez-vous ?

Il pâlit avant de répondre :

-Non, enfin si j’ai bousculé le père hier en sortant du train. Mais je ne les connais pas vraiment. On a juste discuté un petit peu .Et pris un café.

- Plusieurs personnes vous o…

Il se leva d’un coup puis sortit une arme de je ne sais où et tira. Il n’avait touché personne. Lui par contre il fuyait. Je me lançais à sa poursuite. Mais je ne trouvais plus mon arme. Où l’avais-je mise ? Il tirait en arrière mais ne me touchais pas. On sortit et continuons cette cours dans un hangar. Il retira et cette fois faillit me toucher. Je ne sais pas ce qu’il avait touché mais il y eu un bruit étrange puis plusieurs craquements. Il se tourna brusquement me donna un grand coup dans le ventre avec une planche de bois qu’il avait ramassé puis partis en courant.

Je me relevais difficilement puis je me dirigeais vers la porte ou il avait disparu mais le plafond juste au-dessus d’elle s’écroula juste avant que je puisse passer. Je m’arrêtais net. Regardais autour de moi et puis au-dessus. Le temps m’était compté. Le plafond se craquelait complètement. Il ma fallait trouver une solution.
La seule issue que je voyais était une petite fenêtre situées juste sous le coin du toit qui semblais le plus fragile. Mais je devais tenter. Même avec mes talons de dix centimètre j’étais trop petite. Je parcourais la salle des yeux cherchant un objet pouvant me surélever...

Rien, je ne voyais rien je me dirigeais vers le tas de débris qui avait bloqué la porte et dénichais plusieurs planches qui auraient pu faire l’affaire. Dans ma précipitation fis tomber une lampe mais me rendis près de la fenêtre sans le remarquer.

Je commençais à assembler les planches comme je le pouvais mais un craquement me fis sursauter et j’entendis le plafond s’écrouler. Je pris un élan puis me lança. Je me tenais sur le rebord de la fenêtre, il suffisait juste à me hisser puis à sauter en dehors de ce hangar de malheur. Mais je n’eus pas le temps et me retrouvais ensevelie...

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MessageSujet: Re: Jusqu'à ce que la mort vous sépare (suite)   Jusqu'à  ce que la mort vous sépare (suite) EmptyMer 24 Oct - 12:32

Ma Rich d'amour j\'tesautedessus

Sa fait plaisir de te lire à nouveaux après pas mal de temps ! :)

J'aime toujours autant ! La fin... Vraiment super, j'ai hâte de découvrir la suite pour savoir ce que Kate va faire !! (Même si je le sais déjà, vu que j'ai déjà lu ta fic xD)


VLS::d:
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MessageSujet: Jusqu'à ce que la mort vous sépare ( chapitre 5)   Jusqu'à  ce que la mort vous sépare (suite) EmptyLun 5 Nov - 10:35

Richard Castle

En rentrant au loft je ne pus m’empêcher de penser à Beckett. Était-ce fini ? Notre partenariat était-il mort ?
Elle me manquait terriblement. Que pouvait-elle faire ? Y-avait-il une nouvelle enquête? Allait-elle bien ? Était-t-elle heureuse sans moi ? Riait-elle autant ?

Les questions se bousculaient dans ma tête telles des autos tamponneuses. Je ne pouvais les laisser en suspens. Je fis donc demi-tour et me dirigeais vers le poste.

Je m’installais dans un bar en face de celui-ci et commandais un café pour être moins louche. Je me mis alors à la contemplation de la façade du deuxième. Il était majestueux, je n’y avait jamais vraiment porté attention, mais il reflétait bien les personnes qui travaillaient dedans.

Je ne sais pas combien de temps je restais là à l’attendre mais un serveur vînt me voir :

-Excusez moi Monsieur, mais allez-vous rester encore longtemps ?

Je me retournais vers lui mais au moment de lui répondre il s’écria :

-Mais vous êtes Richard Castle ! Je suis un grand fan, surtout la série de NIKKI HEAT !

- Oui, c’est bien moi, merci. Puis-je rester encore un moment s’il vous plait ? Lui répondis-je un sourire aux lèvres

-Mais oui, restez autant que vous voulez, il partit mais se ravisa et me demanda un autographe

Puis sans comprendre comment je me retrouvais entouré de fans voulant des autographes. Je leurs signais en espérant que ce flot disparaisse pour continuer à surveiller les allées et venues des officiers de police. J’entendais des personnes crier des phrases comme :

« Vous êtes mon auteur préférer ! »

« Pour quand la suite de NIKKI HEAT ? »

Entre tous ces bruits j’entendis le bruit la porte du bar s’ouvrir et se refermer puis des bruit de talons en dehors. Et, la plus belle voix du monde. La voix de ma, mon ancienne muse.

Les fans m’empêchaient de la voir quand je fus enfin à l’air frais les voiture allaient démarrer. Je sautais dans le taxi le plus proche Qui, après lui avoir promis un gros pourboire voulu bien les suivre.

Je ne savais pas pourquoi je les suivais mais le faisais avec conviction. Je pouvais faire demi-tour et demander au chauffeur de me conduire au loft. Mais je voulais des réponses et surtout la voir, l’entendre, l’admirer. Le taxi ne s’arrêta qu'un peu plus tôt qu’eux.
Elle resplendissait. Ses cheveux au vent, pour moi c’était une déesse que seules certaines personnes avaient la chance de l’avoir à leurs côtés. Malheureusement je ne l’avais plus.
Elle entrât dans une maison. Je restais là, sans bouger d’un pouce, à fixer la porte par laquelle elle était entrée. Mon cœur me disait de la rejoindre mais ma tête le contraire. Et puis qu’allais-je pouvoir dire « Eh ! Bonjour, c’est moi ! » Non. Je ne pouvais vraiment pas.

Les minutes s'écoulaient et il ne se passait rien. Le sommeil venait m’attaquer. Depuis la dispute je ne dormais plus. Il me prit vite.

Je fus réveillé par un coup de feu. Je me redressais et regardais les officiers sortir un par un. Voilà, ça ne bougeais plus. Un d’eux appelait quelqu’un surement les secours car je vis un des officiers sortir avec une personne dans les bras. En regardant avec plus d’insistance je vis que l’officier n’était personne d’autre qu’Esposito et la personne Ryan. Mais où était donc Beckett ? Je la cherchais des yeux mais ne la voyais pas. Ryan se redressait difficilement puis d’un seul coup s’écria en même temps que Esposito : « Beckett ! On a perdu Beckett ! »
Je n’en pouvais plus et m’élançais en dehors de la voiture et allais dans la maison.

Katherine Beckett

Après avoir remplis le peu d’informations qu’on avait. Je m’assis devant mon bureau et me posa la tête entre les mains. Je n’en pouvais plus.
-Yo Beckett. J’ai interrogé les voisins et plusieurs ont vu un homme trainer dans le coin ces derniers jours. Et j’ai un portrait-robot .
- Très bien, allons voir qui c’est.
Le portrait-robot nous fut d’une grande aide et grâce à Antoine, le fils d’une des victimes. On put trouver l’identité de l’homme mystère.
Je sortis du poste et voulant prendre un café me rendis dans le bar en face du poste mais après avoir entrouvert la porte j’entendais :

« Pour quand la suite de NIKKI HEAT ? »

Je ressortis tout de suite. Je n’étais pas sûre qu’il était vraiment là mais ne pouvait pas courir le risque. Quand je vis les gars me regarder bizarrement je dis d’une voix neutre :

-On n’a pas le temps. On a une enquête.

Ils me suivirent dans la voiture mais je sentais leurs regards se poser sur moi puis vers le bar, mais les ignorais.
La maison était mignonne, bien décorée. Je sonnais une fois, puis deux, puis trois. J’entendis une voix derrière la porte crier :

« Oui, oui attendez »

Il ouvrit la porte et après avoir vu nos cartes nous laissa entrer. Il nous fit s’asseoir sur un canapé bien confortable dans lequel Esposito s’explosa légèrement. Je levais les yeux au ciel mais il ne vis rien. Notre suspect semblait bien tendu.

-Monsieur.

Il me coupa la parole avant d’avoir pu dire un mot de plus.

- Fournier.

-Monsieur Fournier. Nous enquêtons sur le meurtre de plusieurs personnes. Pour commencer, les connaissez-vous ?

Il pâlit avant de répondre :

-Non, enfin si j’ai bousculé le père hier en sortant du train. Mais je ne les connais pas vraiment. On a juste discuté un petit peu .Et pris un café.

- Plusieurs personnes vous o…

Il se leva d’un coup puis sortit une arme de je ne sais où et tira. Il n’avait touché personne. Lui par contre il fuyait. Je me lançais à sa poursuite. Mais je ne trouvais plus mon arme. Où l’avais-je mise ? Il tirait en arrière mais ne me touchais pas. On sortit et continuons cette cours dans un hangar. Il retira et cette fois faillit me toucher. Je ne sais pas ce qu’il avait touché mais il y eu un bruit étrange puis plusieurs craquements. Il se tourna brusquement me donna un grand coup dans le ventre avec une planche de bois qu’il avait ramassé puis partis en courant.

Je me relevais difficilement puis je me dirigeais vers la porte ou il avait disparu mais le plafond juste au-dessus d’elle s’écroula juste avant que je puisse passer. Je m’arrêtais net. Regardais autour de moi et puis au-dessus. Le temps m’était compté. Le plafond se craquelait complètement. Il ma fallait trouver une solution.
La seule issue que je voyais était une petite fenêtre situées juste sous le coin du toit qui semblais le plus fragile. Mais je devais tenter. Même avec mes talons de dix centimètre j’étais trop petite. Je parcourais la salle des yeux cherchant un objet pouvant me surélever...

Rien, je ne voyais rien je me dirigeais vers le tas de débris qui avait bloqué la porte et dénichais plusieurs planches qui auraient pu faire l’affaire. Dans ma précipitation fis tomber une lampe mais me rendis près de la fenêtre sans le remarquer.

Je commençais à assembler les planches comme je le pouvais mais un craquement me fis sursauter et j’entendis le plafond s’écrouler. Je pris un élan puis me lança. Je me tenais sur le rebord de la fenêtre, il suffisait juste à me hisser puis à sauter en dehors de ce hangar de malheur. Mais je n’eus pas le temps et me retrouvais ensevelie...

Richard Castle.

Je ne savais pas ce qui m’avait pris, peut-être qu'elle allais très bien et n’avait pas besoin d’aide. Mais je me retrouvais quand même à la chercher dans la maison qui semblait vide.

J’arpentais les pièces sans rien trouver et mon cœur battait de plus en plus fort. Je montais à l’étage et m’inquiétais beaucoup pour mon ancienne muse. J’étais dans une chambre qui devait avoir été complètement retournée, je soulevais la table basse et regardais dans tous les coins mais toujours rien.

C’est en ressortant de cette chambre que je vis le hangar. Il était complètement écroulé. Je descendis les marche de l’escalier quatre par quatre manquant de peu de tomber et remercia le ciel trop vite car quelques mètres plus loin je trébuchais pour finir ma lancée la tête la première.

Un mal de crâne inimaginable me pris mais je voulais vérifier, je ne voulais pas l’abandonner là-bas. Je me relevais difficilement pour continuer à la chercher.
Je ne savais pas par où commencer. Ce hangar ne ressemblait plus à rien d’autre qu’à un gros tas de débris.

Je me lançais alors à la recherche d’un indice signalant sa présence quelque part, là en dessous. Rien. Je ne voyais rien et mon mal de tête s’amplifiait.

Je me lançais donc à la recherche de ma muse la tête dans les débris mais fus vite stoppé par une vision d’horreur : Le feu commençait à prendre le tas. Je regardais autour de moi pour chercher de l’aide mais personne. Je vis par contre un extincteur et j'allais le chercher pour commencer à éteindre le feu.

Je fus surpris par son poids mais résista et essaya d’éteindre les flammes qui grandissaient. Je n’arrivais pas et ne pouvais pas attendre plus longtemps car je venais de voir une des chaussures de Beckett. Elle était seule mais sa propriétaire ne devait pas être loin.

Je me dirigeais donc vers cette chaussure avec un magnifique talon haut et commençais à enlever les débris les plus proches. J’avais du mal à dégager un passage pour la forme humaine que je percevais. Il ne me restais plus grand-chose à enlever mais je découvris vite que ce n’était pas elle mais un manteau de jardinerie qui devait être rangé dans le hangar.

Je commençais à désespérer, le feu grandissais a vive allure et Beckett était dessous depuis bien longtemps.

Je continuais à la chercher en appelant au secours. Je n’en pouvais plus les forces me manquaient et personne ne venait. Que pouvaient-ils faire ?

Ma tête commençait à tourner et toujours aucun ne signe de vie ou d’aide. Je n’en pouvais plus et étais sur le point de m’écrouler mais un gémissement me rendis courage.

Je cherchais la source de celui-ci ce qui m’amena de l’autre côté des débris, là où le feu avait pris. Je ramassai l’extincteur et dégagea une parcelle où je vis un pied. Mais cette fois j’en étais sûr. Cela était bien un pied malgré mon mal de tête je me mis à essayer de libérer MA Beckett.

Je voyais maintenant toutes ses jambes et ma force était revenue. Je continuais dans ma lancée et entendis même des personnes arriver derrière moi. Elle était là, devant moi, enfin libre. Je l’avais déterré je ne pus retenir mes larmes. En voulant la soulever mon mal de tête s’amplifia d’un coup et je sombrai.

Lorsque je me réveillais j’étais couché sur un matelas dans une ambulance. J’essayais de me souvenir des évènements récents, ma chute, le hangar.

"BECKETT"

Je me redressais d’un bond.

-Oula doucement monsieur… Mr. Castle levez-vous doucement. Vous avez eu un grand choc mais ça va mieux. Si vous voulez partir c’est calmement.

C’est bon je l’avais compris. Pour lui faire plaisir je me relevais doucement pour sortir de l’ambulance et accélérer. Où était-elle ?

Quelqu’un me montra une des ambulances et je partie vers elle. Beckett était là. Les yeux fermés. Elle était couchée paisiblement. Les médecins s’agitaient autour d’elle. Je m’assis sur un banc à l’écart des officiers.

Je pensais à tout ce qui venait de se passer ; et me félicitais intérieurement d’avoir suivis Beckett et toute l’équipe. Mais si elle me trouvait qu’allaient-ils pouvoir dire ?

Je m’en moquais. Je l’aimais et voulais la voir. Je voulais la soutenir. Je savais qu’elle n’était plus seule. J’observais la scène de loin. Un médecin sortait de l’ambulance et allait parler aux gars.

Je voulais savoir mais ne bougeais pas. Bien heureusement je les vis se diriger vers moi. Ce fus Ryan qui parla en premier :

-Alors ? Le chevalier servant toujours là quand il le faut ?

-Et oui les gars vous me connaissez assez pour le savoir. Alors comment va-elle ?

-Ca va aller. Elle a reçu un immense choc mais le feu ne la pas atteint.

Je ne savais pas quoi dire. Elle allait bien. Plus personne ne parlait. On se regardait en silence. Ce fus Esposito qui rompit ce moment sur un ton hésitant.

-Euh… Vous voulez aller la voir ?

-Oui si cela est possible.

-Mais bien sûr allez-y. Nous on va enquêter.

Je m’avançais vers l’ambulance le cœur battant. Je montais dedans puis m’assis à côté d’elle. Elle était magnifique. Je voulais rester le plus longtemps possible à ses côtés. Mais ce ne fus pas bien long, j’entendis une voix demandant Katie… Sa future femme. Je me leva puis descendis de l’ambulance pour lui laisser ma place.



Il me fit un signe de tête puis rentra auprès d’elle. Mon téléphone sonna. Et le nom d’Alexis s’afficha donc je répondis. Elle me demandait où j’étais. Après lui avoir répondu je pris un taxi pour rentrer chez moi.

Alexis m’attendait dans le salon.

-Papa te voilà ! Comment tu vas ? Et elle ? Oh lala j’ai eu si peur ! Lanie m'a appelée quand elle a su que Beckett n’était pas présente puis elle m’a dit qu’elle avait été ensevelie sous un hangar ! J’ai tout de suite su que tu étais avec elle. J’ai eu si peur !

Elle me serra fort dans ses bras et je fis de même. J’avais besoin de son soutien.

-Je vais bien et elle aussi.

Pour finir la soirée nous avions préparé des plateaux repas et les avaient finis devant la télévision. Un film à l’eau de rose faisais du bien dans ces temps difficiles. Je versais moi-même quelques larmes à la fin quand l’un des personnages principaux meurt et l’autre devient fou. Elle se moqua de moi et on passa longtemps à se courir après dans tout le loft et cela fini en bataille de chatouilles.

-Vous ne voulez pas faire plus de bruit tant que vous y êtes !

- Désolé mère.

Elle partit et on reprit de plus belle

Après la soirée nous allions nous coucher. Je m’endormais vite mais me réveillais tôt en sueur. Un terrible cauchemar. Je me lavais, allais prendre ma douche puis allais préparer un bon petit déjeuner.

Ce jour-là je savais ce que j’allais faire. Aller à l’hôpital pour essayer de récupérer des infirmations. Après avoir dévoré mon petit déjeuner je me rendis donc là-bas avec la ferme intention de ne pas aller dans sa chambre ou de me faire reconnaître.

Malheureusement l’une des infermières qui était dans l’ambulance m'identifia dès qu’elle me vit et me conduisit dans la chambre de mon ancienne muse. Son père était là. Je ne savais que dire ni que faire. Il se leva puis me remercia brièvement de l’avoir sauvé et me laissa seul avec elle.

Elle dormait paisiblement et était reliée avec des centaines de fils. Je lui parlais doucement à l’oreille pendant quelques minutes puis me leva pour aller chercher un café. Mon habitude me fis en prendre deux et lorsque je revînt la voir quelqu’un était à ses côtés.

Il était grand brun aux yeux verts et était penché sur Beckett comme moi quelques minutes plus tôt. Il se leva et vint me serrer la main. Aucunes étaient libre et je ne fis pas le moindre mouvement pour en libérer. Il fronça les sourcils mais secoua la tête et se lança :

- Bonjour. Je suis Jonathan, son fiancé. Et vous ?

- Richard Castle son partenaire et je lui ai sauvé la vie.

- Merci pour ce que vous avez fait mais... Vous n’aviez pas arrêter votre partenariat avec elle il n’y à pas longtemps ?

Je le regardais d’un air septique et ne lui répondais pas. Il regardait mes deux cafés et me demanda si j’étais accro. Non je ne l’étais pas. Mais ne voulais pas lui tendre l’un des deux alors je le saluais puis je partis. Je bu l’un des deux et donna l’autre à un des clients qui faisait la queue justement pour s’en acheter un.

Je sortis puis décidais de me promener. Je pris donc une rue perpendiculaire à l’hôpital. J’admirais la ville. Elle brillait de mille feux. Les habitants commençaient à s’agiter et à partir travailler.

Je reçu un texto d’Alexis me demandant où j’étais et me disant qu’elle allait au lycée. Je lui répondis en faisant un petit texte pour une fois et continuais ma ballade. J’arrivais dans les quartiers défavorisés de New York.

Les personnes autour de moi se faisaient rares et et les seules qu’ils y avaient dormaient par terre ou sur des bancs. Je leur glissais une ou deux pièces puis continuais mon avancée puis tournais dans une autre rue et vis la ville se ranimer d’un coup. Je n’étais pas loin de Central Park alors je décidais d’aller y faire un tour avant de rentrer manger.

Je rentrais donc chez moi manger puis je me mis à écrire. Je trouvais cela super d’écrire, on pouvait faire ce que l’on voulait avec nos personnages. S’identifier à celui ou ceux que l’on veut. Cet après-midi-là l’inspiration me venait en flot. J’aimais bien ces jours comme ça ou écrire n’était pas difficile.

J’écrivais donc beaucoup puis essayais de faire une sieste. Comme le sommeil ne venait pas je préférais regarder la télévision.

Puis je me souvenais de maître Yoda alors alla jouer avec lui. Cette fois il était gentil et il s’enfuyait d’une embuscade grâce à mon hélicoptère télécommandé. Je fini mon après-midi a le faire voler dans tout le loft. Je voulais voir ce que cela faisait quand il tombait violement au sol mais je fus stopper dans mon geste par un coup de sonnette.

Katherine Beckett

Après l’écroulement tout passa vite. J’essayais de libérer un passage et m’évanouissais juste après avoir vu que un feu venais de prendre.

J’ouvris une ou deux fois les yeux dans l’ambulance mais les refermais sous la douleur. Je pus comprendre que c’était Castle qui m’avait sauvée. Mais je ne comprenais pas pourquoi et comment. Que pouvait-il bien faire dans ce quartier ?

J’ouvris une autre fois les yeux. Je devais être à l'hôpital mais ne pouvais pas bouger. Je ne vis personne mais entendais des voix. Puis plus rien. Je sombrais encore et encore.

Castle... Il avait été là... Comme toujours. Always...
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MessageSujet: Re: Jusqu'à ce que la mort vous sépare (suite)   Jusqu'à  ce que la mort vous sépare (suite) EmptyJeu 8 Nov - 12:47

J'adore !! La dernière phrase est vraiment bien :)

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MessageSujet: Re: Jusqu'à ce que la mort vous sépare (suite)   Jusqu'à  ce que la mort vous sépare (suite) Empty

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