Coucou a tous,
Alors voilà mon nouvel OS, Heat que j’ai écris pour l’anniversaire de madoka.
Bon anniversaire ! ! ! ! !
Elle me le demande depuis si longtemps (au moins depuis mai) !
Avant de vous présenter mon « œuvre » j’ai tout une foule de personne a remercier.
Déjà merci a Cbwritter, ma correctrice en chef qui m’a beaucoup aidée ! Tu es la meilleure ;D
Merci a Flixovate pour ta correc Grammaire/orthographe
Merci a ReQuiEM de m’avoir donnée quelques conseils sur comment continuer cet OS
Merci a Fille-de-lune de me supporter et de me lire encore et toujours…
Merci a tous ceux qui m’on donnés leurs avis sur cet OS,
Merci a toi madoka, de m’avoir demandée de l'écrire, je me suis bien amusée !
Bon voilà, ca c’est fais, en espérant n’avoir oublier personne si c’est le cas pardonnez moi !
A present, enjoy HEAT !
***
Le soleil était déjà haut dans le ciel de New York City. Les premiers joggeurs couraient dans Central Park, les magasins de jouets ouvraient leurs portes devant les yeux émerveillés des enfants.
La journée s’annonçait chaude et orageuse.
Déjà les premiers bouchons se formaient sur la 6eme rue. Petit a petit, les maisons s’éveillaient.
Pourtant, dans le loft de Castle, rien ne bougeait. Il n’y avait aucun bruit. Rien. Justes des respirations calmes.
Un des corps empêtrés dans les draps bougea lentement. C’était Castle qui avait été réveillé par un rayon de soleil qui avait traversé la vitre.
Il soupira de plaisir. Son premier réflexe en ouvrant les yeux fut de la chercher, elle, la femme de sa vie. La belle était bien là, son visage paisible et doux tourné vers lui.
Rick regarda la poitrine de Kate monter et descendre puis repensa a la nuit qu’ils venaient de passer.
Il resta ainsi environ un quart d’heure puis décida d’aller préparer des petits déjeuners.
Il n’eut pas le temps de s’asseoir sur le bord du lit qu’il entendit :
- Ne te lève pas. Reste au lit…dit Beckett d’une voix sensuelle.
Il se retourna. Elle le regardait, un grand sourire peint sur ses lèvres, ses yeux encore ensommeillés qui gardaient cette lueur d’amour et ses cheveux en batailles qui reposaient sur sa poitrine.
Castle s’approcha pour l’embrasser langoureusement. Elle passa ses doigts fins dans sa chevelure tandis que lui collait son corps contre le sien. Ils reprirent leur souffles en se regardant dans le blanc des yeux. Ils voyaient dans la pupille de l’autre exactement ce qu’il ressentait, rendant toute parole inutile. Le véritable amour, le grand, l’intense avait envahit leurs cœurs.
Leurs corps étaient face a face, chacun observant celui de l’autre avec un mélange de désir et de fascination. Kate traça du bout de son doigt une ligne partant de sa poitrine qui descendit jusqu’au bas ventre. La température augmenta rapidement.
La policière se colla contre Rick tout en l’embrassant sauvagement.
Elle passa sur son visage, dans son cou ce qui le fit gémir puis sur les abdos pour finir encore plus bas.
Castle savourait cet instant. Il avait l’impression de rêver. Peut être était-ce le cas d’ailleurs ?
Quatre ans qu’il avait espérer sauter le pas, quatre longues années de fantasme, d’espoir et de désir.
Kate revint l’embrasser sur le visage mettant fin a ses pensées.
Elle ouvrit doucement les yeux.
C’est alors que l’émeraude rencontra l’azur.
Puis, la brunette s’assit a cheval sur le torse de son partenaire.
Il la dévisagea mais ne la reconnu pas.
Jamais il ne l’avait vu si sauvage, si avide de son corps. Cela l’éxitait.
Kate se pencha pour lui taquiner l’oreille.
Rien que de sentir son corps contre le sien envoyait l’écrivain au septième ciel.
Il plaqua sa bouche contre la sienne, savourant le goût sucrer de ses lèvres.
La pièce devenait de plus en plus sombre a mesure que le ciel se couvrait de nuages annonçant l’arrivée d’un autre orage.
Un orage pareil a celui qui avait accompagné leur folle nuit, cet orage qui était parvenu a détruire complètement le mur de Kate. Mur, qu’il avait mis quatre ans a déconstruire briques après briques…
Un coup de tonnerre retentit, suivi de près par un éclair qui illumina la pièce.
Cela ne fit qu’augmenter le désir des deux amants.
Rick fit basculer sa muse sous lui. Les lit n’étant pas assez grand pour leurs ardeurs, ils atterrirent brutalement sur le parquet de la chambre, toujours emmêlés dans les draps.
Kate étouffa un gémissement.
- Je te veux ici, maintenant…murmura Castle a son oreille.
- Je suis tout a toi, chaton…
Il se mit a ronronner puis l’embrassa encore et encore, sous les gémissement de la policière.
- C’est dommage que tu n’ai pas pris tes menottes, on aurait pu faire pleins de choses avec…
« Si seulement… » pensa Kate qui s’imaginait déjà toutes les tortures qu’elle aurait pu lui infliger en l’accrochant aux barreaux du lit…
- Tu ne vas pas me dire que toi, tu n’en a pas ? répliqua-t-elle entre deux baisers.
Il lui fit un sourire mystérieux.
- Je ne veux pas te quitter. Pas une seconde.
- Pourquoi ne pas pimenter un peu cela ? dit-elle en lui adressant le plus coquin des sourires.
Il n’en fallut pas plus a l’écrivain pour céder a sa muse. Il l’embrassa passionnément et se leva.
- Attend moi, je reviens tout de suite.
- Dépêche toi chaton, je m’impatiente…
Elle le regarda s’en aller puis se leva a son tour pour se regarder dans la glace. Elle contempla ses cheveux artistiquement ébouriffés mais ne les recoiffa pas. Elle se fichait bien de son physique. Kate se trouvait au côtés de l’homme qu’elle aimait, et c’était la seule chose qui comptait…
Elle se détourna de son reflet pour regarder la pièce totalement ravagée…
Soudain Beckett sentit des bras musclés l’enlacer par derriere.
- Je t’ai manqué ?
En réponse a sa question, elle se colla contre lui et se retourna pour lui faire face. Il la poussa brutalement contre la porte pour continuer son exploration.
- Tu as un faible pour les portes chaton ?
Un bruit familier la fit taire. Celui des menottes que l’on passe. Elle se demanda avec quoi il l’avait attacher et découvrit avec satisfaction que c’était avec son partenaire.
- Plus jamais tu ne me quitteras Kate. Nous sommes menottés pour toujours…
- Oui toujours.
Le corps a corps recommença de plus belle, leur désir attisé par les menottes quand soudain…
- DRIIIIIIIIIIIIIIING !
Castle releva la tête du cou de Kate.
- Ricky tu attend quelqu’un ?
- Non. A moins que…
- Papa ?
Les amants se regardèrent. Leur premier réflexe fut de se vêtir. Et les menottes posèrent un léger problème…
- Rick ! tu ne voudrais pas retirer les menottes ?
- C’est a dire que…euh…je trouve plus les clés… répondit Castle penaud.
- Tu rigoles j’espère ?
- …PAPA ?
- Une minute chérie j’arrive !
- Comment on fait ? chuchota Beckett.
- Je sais pas moi !
- On s’habille ? proposa la policière.
Ils rassemblèrent des affaires sur le lit puis enfilèrent avec difficulté sur qui leur tomba sous la main.
La brunette trouva une nuisette noire.
- Euh…Rick ? D’ou ca sort ?
- Oh ! euh…
- Laisse tomber. Je ne préfère pas savoir.
Une fois vêtu, les amants allèrent dans la cuisine pour trouver un moyen d’enlever les menottes…
- Papa ! ! ! ! ! ! Mais que fais tu ? ?
- Je m’habille chérie une minute !
Ils essayèrent couteaux, trombones, tournevis mais rien ne parvint a les séparer.
Puis on entendit le cliquetis des clés alors que Kate savonnait sa main afin de l’extirper de sa menotte.
- Merde ! Plus vite Kate, plus vite…
Ils se placèrent derrière le comptoir de façon a ce que l’on ne voit pas Kate en nuisette, encore moins menottés a lui.
Et lorsque Alexis pénétra dans la pièce, Castle lisait d’une main le journal pendant que Kate continuait de frotter.
- Papa ca fait vingt minutes que je suis devant la porte ! Que faisais tu ?
- Je prenais une douche… désolé trésor.
Ses yeux teintés d’agacements s’emplirent d’amour. Elle se pencha vers le comptoir et tendis la joue pour qu’il l’embrasse mazis il ne bougea pas.
La rousse prit les devant et commença a déambuler en lui racontant sa journée.
- Je passais chercher quelques fringues…avec les amis on…
Elle s’arrêta. Son père n’écoutait plus. Il regardait fixement sous le comptoir. Peut être avait il perdu quelque chose ?
- Papa ? tu m’écoutes ?
- Pardon ? répondit Castle en la regardant dans les yeux.
- C’est pas grave ! dit elle en courant dans sa chambre. Elle ressortis cinq minutes plus tard les bras chargés d’habits et sortit rejoindre ses amis.
- A ce soir ! cria t-elle tandis que la porte se refermait.
Kate ressortis presque immédiatement. Elle était parvenue a se séparer de son acolyte.
- On a eu chaud ! dit-elle.
- Plutôt oui…
- La prochaine fois, c’est moi qui ramène les menottes…avec la clé !
Castle approuva. Puis ne pouvant plus résister, il décida de reprendre la ou ils s’étaient arrêter. Sa muse semblait avoir eu la même pensée.
Il l’embrassa sauvagement et la souleva pour l’asseoir sur le comptoir. Puis Rick passa ses mains sous la nuisette pour la coller contre lui. La policière entoura ses longues jambes autour de sa taille et lui fit retirer sa chemise.
Rapidement, ils se trouvèrent a nouveaux nus.
Et comme si la visite d’Alexis n’avais pas suffis, le téléphone se mit a sonner.
- Ne décroche pas mon cœur…susurra Beckett.
Il sonna une fois, deux fois, trois fois…à la quatrième Castle se résigna a répondre.
- Castle.
- Salut Rick, c’est Ryan.
- Ryan ! Que me vaut ce plaisir ?
Il tenta de lancer un regard à Kate mais celle ci était trop occuper a le caresser.
- …je voulais savoir si vous saviez ou est Beckett. Je n’arrive pas a la joindre depuis…enfin voilà…
L’écrivain était déstabilisé par sa muse qui l’embrassait.
- …Je…je…ne l’ai pas…revue depuis hier…parvint il a dire.
- Vous ne savez pas ou elle pourrait être ?
- NON ! cria-t-il sans vraiment le vouloir. La langue de Kate se baladait sur son corps, lui faisant perdre tout ses moyens. Excuse moi Ryan, j’ai laisser tomber un truc. Je ne sais vraiment pas ou elle peut etre…
- Ce n’est pas grâve. Désolé de vous avoir déranger Castle. A plus tard !
- A plus tard Ryan
Il raccrocha.
- Ryan est toujours comme ca ? demanda Castle.
- Il est assez maternel. Répondit sa muse.
Oui, Esposito et Ryan se souciaient d’elle. Ils représentaient les frères qu’elle n’avait jamais eu, et elle les aimaient plus que tout.
Kate savait pertinemment que rien ni personne ne pouvaient les séparer car ils étaient liés par quelque chose de plus fort qu’une simple amitié. Ils formaient une famille… une idée traversa l’esprit de la policière.
« S’il formaient une famille alors qui représenterait quoi ? »
Elle se voyais dans le rôle de la mère, Rick dans celui du père et les gars dans ceux des enfants.
Elle rit intérieurement quand une image d’Esposito et Ryan dans leurs body et leurs hochets a la main lui traversa la tête.
Peut être qu’un jour, elle aurait des enfants avec Castle. La brunette espèrait de tout cœur qu’ils aient les mêmes yeux que leurs père…
Kate se surpris elle même à réfléchir a ce genre de choses.
Elle n’avait jamais pensé fonder une famille avec quelqu’un mais cette fois ci, elle sentait que c’était le bon.
Beckett se blottit dans les bras de son amant, un sourire aux lèvres. Elle croisa le regard azur de Rick, tendre et amoureux.
Elle se rendis compte qu’elle avait été aveugle. Comment avait elle pu ne pas voir les signaux qu’il lui envoyait ?
Peut être ne se sentait elle pas prête ? Foutaise ! Elle l’avait désirée dès le premier jour.
Tout ce qu’elle souhaitait, c’était de compter pour lui. Etre autre chose qu’une de ses conquêtes…
La brunette repoussa toutes ses pensées de son esprits. Elle ne voulait plus réfléchir. Elle voulait être.
Ce fut a cet instant la que Kate Beckett se rendit compte qu’elle était heureuse là ou elle etait, dans les bras de l’homme qu’elle aimait et qu’elle aimerait…
Toujours…
***
So ?